Dimanche 10 Novembre
à partir de 14h
Les AMAPS organisatrices nous invitent à profiter du programme de leur fête de la courge. Une belle et gentille initiative envers nos groupes et une occasion de faire connaissance 🙂
Damien

Damien Czarnecki – Maraîchage Biologique – 91690 Guillerval
Dimanche 10 Novembre
à partir de 14h
Les AMAPS organisatrices nous invitent à profiter du programme de leur fête de la courge. Une belle et gentille initiative envers nos groupes et une occasion de faire connaissance 🙂
Damien
Ce jeudi je vous propose
la composition suivante
Infos cultures
Et beaucoup de coupe de cresson. C’est la pleine saison, et j’essaye cette année de développer mon activité. J’en livre à des boutiques (Etampes), vente à la ferme (Greneville), organisme qui fait des paniers à Evry, Amap de Morigny, café associatif Le Pti Vilco à Vilconin, et prochainement à Olivier du fournil Le pain commun pour le pain de saison de novembre.
A l’image des maraîchers d’Ile de France qui, comme moi, sont frappés par des sécheresses de plus en plus fréquentes et fortes, je suis inquiet pour la production de cet hiver, qui était en terre cet été. En effet ces aléas engendrent de nombreux impacts négatifs sur les cultures : sols asséchés, feuillages grillés, retard de croissance, sur-développement des ravageurs…
Lucie du Réseau AMAP IDF a rédigé un article qui résume parfaitement la situation. Je vous en livre quelques passages :
« Le constat est souvent décourageant, pour certains les feuilles de choux sont presque intégralement ravagées et jonchent les bâches tissées, pour d’autres les plants de courges ont peu de fruits : les fleurs ont coulé, les fruits avortés et sont peu nombreux. Quant aux salades, elles montent à fleur ou brûlent, et ce malgré un arrosage quotidien. Dans certains cas, les tomates ont stoppé leur croissance et le mûrissement des fruits a pris du retard »
« Pourquoi cette année une telle « attaque » d’altises ?
Entre la sécheresse et les fortes chaleurs, le manque d’humidité, le colza en grandes cultures qui n’a pas correctement poussé, les altises n’avaient pas d’autres maisons que les crucifères dans les fermes maraîchères.
Les choux risquent donc d’être aux abonnés absents de vos paniers hivernaux. Les paysan·ne·s soulignent qu’un hiver sans chou serait du jamais vu et ne ressemblerait pas à un hiver normal. »
J’espère malgré tout pouvoir vous proposer cet hiver des paniers de qualité.
Damien